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La messe n’avait rien gagné à perdre son latin et le tennis ses tenues blanches « de rigueur ». Ces deux activités dominicales de son enfance tiraient l’essentiel de leurs charmes de ces rites. Tout cela avait de l’allure.
Et il admirait l’allure de Federer venant saluer en costume blanc le duc de Kent après sa victoire à Wimbledon et s’offusquait des biceps dénudés, luisants et, pour tout dire, suspects de Nadal.

Il avait beau être progressiste, moderne, de gauche et tout et tout, il n’en pensait pas moins que le tennis devait être mis hors de portée des camionneurs et le catholicisme revenir à une saine illisibilité plus propice à la foi.

 


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