A 17 heures, il s’installe à la terrasse d’un café intello et désuet recommandé par le guide du routard. Comme toujours, la jeune serveuse est magnifique. Il
prend le thé dit « du poète solitaire ». C’est juste de l’eau teintée, bouillie et un peu chère, mais il est ravi: il tient son rang.