Le fil des jours
Publié le 5 Juin 2012
Les nuits, il survivait en clown triste
Le matin laissait ses phrases en suspens
Midi rien
L’après-midi parfois en juillet l’échappée d’un cycliste
Puis les soirs s’enchaînaient aux matins
Il survivait en clown triste
Sur ses jours de gisant, le temps n’avait plus prise